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crise

  • Découvrez les 10 Digits Futurs en direct de Ettighoffer Digital Campus

    Découvrez les 10 Digits Futurs en direct de Ettighoffer Digital Campus et prenez une longueur d'avance sur l'entreprise du futur

    http://www.ettighoffer.fr/liens

     

    1 - L'inadaptation des organisations limite la compétitivité des entreprises

    La contagion de l'informatisation désormais galope. Pourtant, beaucoup d'entreprises ne sont pas en mesure de défendre leur capacité à créer des richesses car elles ne disposent plus des bonnes organisations pour rester compétitives. On croyait, sans doute un peu naïvement, qu'il suffirait de diminuer le coût des équipements pour résoudre le problème prix/performance, seulement voilà on avait un peu vite oublié qu'il fallait rénover les organisations qui vont avec.[...]

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    2 - L'Entreprise virtuelle, modèle universel?

    Dans le Nord de l'Egypte, près des sources du Nil, une légende court sur la création du monde. Dieu, après avoir créé le ciel, la lumière, la terre, la nature, les animaux et les hommes enfin, fatigué décida de se reposer. Il s'endormit. Plusieurs centaines d'années plus tard, il se réveilla et s'enquit de ce [...]

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    3 - Pour créer de la valeur l'Entreprise doit devenir plug and play !

    Les entreprises multiplient les partenariats. Ce faisant elles gagnent en efficacité et en flexibilité en créant des chaînes de valeurs originales globalement plus productives. Depuis 1992, les marges gagnées aux Etats-Unis l'ont été par l'alliance d'entreprises : c'est là que se trouvent les gisements de productivité promis par les investissements informatiques que tout le monde cherchait. [...]

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    4 - Les entreprises du futur : des chaînes d'organisation

    L'entreprise du futur sera une co-entreprise, mieux... elle sera une fédération d'entreprises, c'est-à-dire un ensemble composite regroupé dans une méta-organisation. Ce ne sont plus des petites, des moyennes ou des grandes entreprises; ce sont des réseaux plus ou moins étendus d'entreprises de tailles pouvant être très différentes qui s'associent entre elles afin de faire des [...]

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    5 - Les méta-entreprises ou grappes sont en majorité des PME.

    Le commerce international a triplé en quinze ans avec la multiplication des échanges de services, ce qui accentue la sensibilité extrême des marchés aux coûts de la main d'œuvre et de la fiscalité des entreprises. " Lorsqu'un Américain achète une Pontiac Le Mans de Général Motors, raconte Robert Reich, il prend part sans le vouloir à une [...]

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    6 - Les organisations coopératives, avenir des économies modernes

    A la fin des années 1980, au pays basque le gouvernement de Vitoria fait face à une industrie régionale sinistrée depuis la crise énergétique de 1978. La situation sociale était désastreuse : 30% de chômeurs en moyenne, 40% à Bilbao. Que faire pour redresser la situation? Le gouvernement régional fit appel à Michael Porter, professeur [...]

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    7 - Sous-traitant ou cotraitant ? Intégration ou partenariat ? Plutôt une logique d'écosystèmes

    Lors des fusions les incompatibilités des cultures et des tempéraments entre dirigeants et cadres d'entreprises font la réussite ou l'échec d'une équipe portée au pouvoir du nouvel ensemble. Pour contourner cette difficulté un peu partout des dirigeants inventent des co-entreprises afin de réussir les alliances les plus prometteuses. [...]

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    8 - Utiliser les nouveaux modèles d'organisations coopératives pour gagner en compétitivité

    La conception des produits et des services, avec beaucoup de valeur ajoutée, fait appel à des partenariats croissants entre entreprises pour gagner rapidement des marchés et diversifier rapidement des fabrications. Caractérisées par une forte interdépendance industrielle, économique et sociale, les entreprises modernes se constituent en communautés virtuelles professionnelles, où le brassage des idées, des valeurs [...]

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    9 - Globalisation : Entreprise virtuelle et division internationale du travail

    Le développement de l'économie a toujours coïncidé avec celui des inventions qui ont jalonné son histoire. La plupart du temps, il s'agit de nouvelles découvertes technologiques, telles que la machine a vapeur, l'électricité ou l'ordinateur. Plus rarement, ces inventions se produisent dans le domaine de l'organisation du travail lui-même comme j'ai pu le démontrer dans [...]

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    10 - Cartellisation et migrations fiscales dans les grappes coopératives

    Le rêve communautaire des coopératives ouvrières redevient une réalité pour cause de netéconomie. Cette approche  s'accorde bien avec la netéconomie qui se développe sur la base de partenariats et selon un mode coopératif plus ou moins intense, mais elle n'est pas sans inconvénients. Les réseaux d'organisations communautaires ou grappes peuvent être une cartellisation masquée des acteurs économiques. Elle qui ne manquera pas d'inquiéter si elle n'est encadrée à terme au plan au moins européen. Cette capacité nouvelle de faire circuler  le travail, le capital et les produits entre membres d'une même méta organisation est diversement appréciée. [...]

     

     

     

     

  • Un monde post-récession est en train d’émerger, vite penser non conformiste et hors main stream...

    Un nouveau réseau social pour ceux qui sont à l'affût de l'air du temps, qui souhaitent éviter d'être dans le main stream
    Un monde post-récession est en train d'émerger, même si les dommages collatéraux de la crise vont mettre du temps à être résorbés. C'est une véritable autoroute pour casser les anciens modèles et reconstruire. C'est une opportunité magnifique pour tout réinventer. Plus que jamais, nous aurons besoin d'individualités à la proue du navire, des « Christophe Colomb » pour ouvrir le chemin ou éclairer le futur. Il peut s'agir de... chasseur de tendance, trend-spotter, trend hunter, défricheur, découvreur, tendanceur, early adopter, cool hunter, dénicheur, détecteur d'influences créatives, connecteur, trend-setter, trend tracker, précurseur, prospectiviste, influenceur, avant gardiste, geek, décrypteur de tendances, veilleur, innovateur, tendançologue, observateur attentif, spin doctor, explorateur méditatif, créateur de tendances innovantes, trend maker, journaliste trendy, visionnaire, future shaper, styliste, électron libre, marketeur curieux, lecteur attentif, pionnier, influenceur créatif, décodeur d'influences, observateur de l'air du temps, agitateur d'idées, stimulateur de curiosités, éclaireur du futur, planneur stratégique, peu importe leurs noms, ce sont des laboratoires intégrés !!! Les thèmes sont multiples : Luxe, intelligence market, art, design, fashion, sociologie, innovation, street culture, fooding, décoration, pauvres, consommation, hôtellerie, etc Ils sont à la fois observateur et acteur. Ils partent régulièrement en immersion pour avoir une longueur d'avance. Ils vont visiter des salons professionnels, des galeries, des librairies off, des boutiques branchées, des défilés de créateurs, aller au cinéma, lire les magazines inédits, voyager pour humer, respirer l'air du temps. Et surtout ils vont apporter ce supplément de créativité et de vision, qui va permettre de rendre active ce travail patient de veille prospective !!!
    http://smartfutur.ning.com/

  • 5 profils de français face à la crise...

    62068.JPGPour comprendre comment les Français réagissent à la crise et se projettent dans l'après crise, TNS Sofres a mis en œuvre une double approche : un sondage sur la crise et ses lendemains et une analyse sémiométrique, méthode qui consiste à appréhender les systèmes de valeurs à travers un corpus de mots. 1500 personnes interrogées, 210 mots testés, et au final 5 profils d'attitudes révélés sur la crise et la sortie de crise.

    • Les battants : la crise, une occasion d'agir
    • Les rebâtisseurs : la crise, un obstacle dépassable, voire une étape salvatrice
    • Les repliés : la crise, une nouvelle source d'inquiétude
    • Les réformateurs : la crise, une occasion pour réfléchir
    • Les sinistrés : la crise, une réelle menace pour eux

     

    http://www.tns-sofres.com/points-de-vue/C275570809944E0BB21A3D47D043E80B.aspx

     

     

  • Tendance Camo/Survie = plus de créativité ou d'innovation ?

    Marsh Green Camo SBR .jpgFuzzy Tendance : Etes-vous Camo ?

    Dans les rues, les gens circulent comme un jour ordinaire, les luminaires sont allumés, les boutiques avec des rayonnages au complet, mais l'odeur de la crise plane. Fonte des patrimoines boursiers et immobiliers, perte pouvoir d'achat, précarité de l'emploi, augmentation du prix de l'énergie, constituent des facteurs qui déstabilisent les esprits. Si les cours du pétrole en yoyo sont manipulés par certains groupes de pression, nous savons tous qu'à tout moment le prix du baril peut dépasser les 200 dollars. Dans ce cas les résidents péri-urbains seront immobilisés, avec des voitures clouées au garage. Pour autant, loin d'être Apocalypse Now, ces stimulations vont nous obliger à réapprendre à acheter, nous rappeler les réflexes élémentaires (ah, les fruits hors saison sont plus chers, c'est dingue !!!), faire des choix où la fonction et l'utilité d'un produit ou d'un service sera mieux évaluée (c'est quoi la valeur que l'on me propose ???), bref back to basis. Mais rationnement ne signifie pas un avenir sombre, c'est une incitation à reprendre les rennes de sa vie, réfléchir, agir. Côté travail, bientôt les entreprises proposeront peut être un langage militaire avec des opérations commando pour partir à la conquête d'un territoire (oups, parts de marché) et même les séminaires d'intégration des firmes consisteront en des courses d'orientation dans des anciennes casernes louées par l'armée (la vraie) ? Et puis comme nous nous orientons vers la rareté (info connue depuis un siècle), les organisations et sièges sociaux seront mis à la diète suprême. Minimalisme, réduction des coûts et de la voilure, cheap attitude (oups, cost killing aveugle), etc

    iomega-ego_portable_hd_camo_top.jpgL'argent étant aussi un instrument rare, on comptera plus que jamais. Dans ce contexte où les gens peuvent avoir le cerveau reptilien aiguisé par cette sensation de rareté et d'instabilité (plus la guerre pour un emploi), des réflexes de survie sont réactivés et cela pourrait être une explication de la camo attitude... (camo, étant le tissu de camouflage des armées avec des tâches disruptives). Vous n'y échapperez pas : vêtement, disque dur, automobile, sac, téléphone portable, chaussure, jeu vidéo, assiette ou tasse, etc Même Jean-Charles de Castelbajac vous proposera de ravissantes tenues. Au-delà de l'aspect design, presque fun, nous pourrions presque y voir un signal faible ! En temps de guerre il faut apprendre à vivre camouflé, à survivre, à prendre le maquis, à mieux exploiter les ressources naturelles locales, à savoir mieux se défendre (empowerment 1.0), à faire le mort en présence d'un danger. Côté habitation, toutes les maisons sont conçues pour fonctionner comme des biosphères totalement autonomes (recyclage eau de pluie, déchets, calories + production d'énergie indépendante). Et puis pour certains cela va être de s'habituer avec des températures normales, par exemple 18 ou 19° sans grelotter.

    LS Camo resized.JPG 2.JPGUne autre explication plus farfelue du retour du guerrier au travers du camo serait l'arrivée d'un nouvel idéal masculin post dolto, avec dans le même temps le développement des femmes androgynes ? La rareté va-t elle-nous apprendre à transformer nous même les éléments plutôt que d'acheter systèmatiquement des choses toutes faites (cf. plats cuisinés, mais ce n'est qu'un exemple) ? Pour un trip camo vous pouvez juste pour le fun aller sur www.usmcpro.com et vous imprégner d'une ambiance survie & aventure totale... Au final, la tendance camo pourrait signifier innover plus, être plus créatif pour vivre la rareté positivement ???

  • Les consommateurs transformés par la crise...

    Des nouveaux consommateurs en direct de la crise...

    Qu'on les appellent survivalistes, compacters, down­shifters ou downsizers, ou adeptes de la simplicité volontaire, il s'agit de consommateurs que l'on ne peut pas ignorer en 2008, même s'il s'agit de groupes marginaux en apparence face au mainstream des consommateurs classiques. Toutefois, il est quasi certain que suite à la crise économique structurelle que nous traversons, beaucoup de consommateurs occidentaux adopteront ces nouvelles formes de frugalité par dépit à défaut de conviction idéologique... Qu'on le veuille ou non, dans le monde réel, il y aura moins d'argent en circulation dans les pays occidentaux et plus de fracture, plus d'inégalités. Rajoutons à cela les évolutions chaotiques du prix de pétrole qui fragilisent les gens rejettés à la périphérie des villes et donc plus sensibles aux impacts du coût de l'énergie...

    Mouvement des Survivalistes
    http://www.visiondurable.com/article-216454-Le-survivalistes-stockent-armes-et-provisions.html
    Aux États-Unis, des «survivalistes» se préparent à affronter une crise sans précédent qui résultera de l’épuisement des réserves de pétrole. Ils prônent et appliquent au quotidien l’autosuffisance pour vivre sans pétrole, et stockent des armes pour se défendre…
    Selon Associated Press, ces gens croient à la théorie du «pic du pétrole», point de non retour où les réserves de pétrole commenceraient à décliner jusqu’à l’épuisement, et considèrent qu’il est trop tard pour sauver la planète. Ils ne cherchent qu’à se sauver eux-mêmes.

    Se préparant à la fin de la société de consommation actuelle, certains «survivalistes» s’installent à la campagne, font une croix sur leurs cartes de crédit, adoptent une alimentation basée sur les produits locaux et retournent à l’utilisation du poêle à bois.

    Un couple rencontré par AP aurait planté un verger de 40 arbres, construit une serre avec un système d’irrigation propre et commencé à élever et appris à abattre des poulets et des porcs.

    D’ici 2012, ce couple espère être autonome en énergie grâce à des panneaux solaires et produire sa propre viande, lait et légumes. Ils prédisent que «les gens ne seront pas préparés» à ce changement et imaginent des «hordes en maraude».

    Stocker des armes pour protéger ses denrées

    Des «survivalistes» stockeraient des armes pour se protéger de «hordes affamées non préparées à faire face à la crise», selon AP. «Ils envisagent un avenir où les villes américaines seront pleines de réfugiés affamés et désespérés en quête de nourriture, d’abris et d’eau». Une «survivaliste» interviewée par l’agence de presse croit que «les villes américaines pourraient connaître une montée de la violence dès 2012», alors que les gens commenceront à manquer de ce dont ils ont besoin pour eux-mêmes et leur famille.

    Associated Press soutient ne pas savoir combien d’Américains vivent ainsi, mais estime que le mouvement a pris de l’ampleur ces dernières années. La difficulté proviendrait de la discrétion des survivalistes concernant leurs préparatifs. Selon AP, ils craindraient de mettre en danger leur famille en révélant le lieu où ils emmagasinent leurs provisions. Plusieurs d’entre eux auraient refusé de parler à l’Associated Press ou de révéler leurs noms.

    Certains survivalistes «pensent que le gouvernement américain réagira à la perte de sécurité énergétique en restreignant les libertés individuelles». D'autres prédisent que «l'État ne sera pas en mesure d'assurer les services de base à la population durant la crise».

    Mouvement des Compacters

    Les temps changent, Qui sont les « Compacters » ?
    Par Estelle Leroy
    http://www.place-publique.fr/article2889.html
    Mouvement informel, les « Compacters », qui limitent leurs achats de produits neufs, vont peut être devenir un phénomène de masse.
    « Il y a quinzaine d’années est apparu le « jour sans achat » (buy nothing day-BND), sorte d’antidote à la folie du shopping, et au consumérisme, qui s’est développé autour de Thanksgiving aux Etats-unis ou des fêtes de fin d’année en Europe. Il y a trois ans à San Francisco, sont nés les « Compacters ». L’idée qui a germé au sein d’un petit groupe d’amis fut de pousser le concept du BND plus loin : pendant un an, ne rien acheter de neuf si ce n’est pour la nourriture, la santé. Pour le reste, priorité à ce qui est usagé, d’occasion que ce soit sur ebay ou sur freecycle.org. ... « Au départ, c’était, témoigne un des fondateurs, Rob Picooto dans un article du San Francisco Chronicle, passer moins de temps à faire des courses, sortir du rituel du shopping ». Au fil du temps, c’est aussi devenu recycler davantage pour contrecarrer les impacts négatifs de la culture consumériste sur l’environnement et la société. Une façon de réagir à la crise mondiale, environnementale et économique, que nous allons traverser, et qui selon ceux qui ont rejoint ce mouvement, a été amenée par ce consumérisme échevelé. D’ailleurs leurs motivations sont assez variées : stopper leur dépendance au shopping, cesser de gaspiller pour protéger l’environnement, échapper à une société trop matérialiste, prôner les valeurs d’échanges, rompre le cercle vicieux du consumérisme et aussi du surendettement, prendre conscience des ressources limitées de la planète ...Certes, on ne peut oublier ceux qui, par nécessité économique, ont adopté une telle démarche depuis des années sans forcément s’inscrire dans un mouvement bien identifié, si ce n’est celui des fins de mois difficiles ! »

    La décroissance selon Courrier International

    http://www.courrierint.com/article.asp?obj_id=81112
    « Vive la décroissance ! Refus de l’hyperconsommation, mode de vie moins polluant... En Australie et en Nouvelle-Zélande, ces idées font école, notamment chez les jeunes. Les adeptes de la décroissance (down­shifters ou downsizers) [décélérateurs ou encore ralentisseurs] vivent dans les grandes villes comme dans les petites, mais aussi à la campagne. Ils traversent les générations et les professions, mais la plupart appartiennent aux classes moyennes ou supérieures. Ils parlent de liberté, de redécouverte des plaisirs simples, de bien-être, d’harmonie. Ils savent que moins peut être plus. Peut-être certains sont-ils vos voisins. D’ailleurs, avec la hausse des prix de l’alimentation, le poids de l’énergie dans les budgets et le spectre toujours présent d’un effondrement du marché de l’immobilier, tout le monde pourrait bientôt avoir à s’efforcer de vivre mieux avec moins. »