- Economie grise (ou noire selon les auteurs) : cela peut concerner les circuits mafieux, illicites, fraudes, vols, mais de façon plus mineure les stratégies de personnes pratiquant une économie souterraine d’échanges non fiscalisés, un troc qui n’entre pas dans le radar des administrations. L’économie grise dans son autre acception c’est le développement des nouveaux services aux seniors.
- Economie bleue : The "Blue Economy" est un projet lancé par Gunter Pauli dont l'objectif était de trouver les 100 meilleures technologies inspirées par la nature, impactant de manière significative les économies mondiales, tout en répondant aux besoins primaires des hommes (eau potable, nourriture, toit, santé et travail). Tout se trouve dans l’ouvrage « The Blue Economy – 10 Years, 100 Innovations, 100 Million Jobs ». Paradigm Publications.
- Economie verte : on ne présente plus la green economy reposant sur les nouvelles activités liées au développement durable et concernant tous les secteurs d’activité. Cela devrait générer à moyen de nouveaux emplois, de nouveaux services, de nouveaux produits, etc
- Economie mauve : L'économie mauve, une nouvelle alliance entre culture et économie. L’économie mauve est bien plus qu’une innovation terminologique. Son champ, beaucoup plus large que l’économie des produits culturels, vise la dimension culturelle qui s’ouvre à tout bien ou service. En plus cela ne pollue pas ! http://economie-mauve.org/economiemauve___FR.html
- Economie blanche : le but est de parvenir à concilier les objectifs écologiques, sociaux et économiques. Quand on combine des faisceaux de lumière verte, rouge et bleue, on obtient du blanc.