Les besoins neuronaux des cadres ultrabusy à satisfaire par les producteurs de contenus
Dans un monde en plein turbulences, où les cadres doivent naviguer entre le monde réel et le monde virtuel, entre les médias classiques et le web 2.0, un besoin de transversalité/complémentarité apparaît aussi bien côté fournisseur de contenus que du côté du consomm’acteur. Ce dernier ne supporte plus le marketing intrusif, car il souhaite avoir le choix d’être sollicité. Donc, la relation entre la marque et le client devra de plus en plus reposer sur des émotions, des expériences… en complément de l’offre traditionnelle. Il faut séduire le client en créant du lien, de la présence. En effet, on constate que de plus en plus les décideurs ont besoin de sortir de leur isolement et il leur faut des lieux de connexion soit en live, soit sur internet. Il faut aussi pouvoir tenir un discours qui puisse mélanger du business et du sociétal. Cela doit avoir du sens. Cela doit être également ciblé, c’est-à-dire
Côté marque, il faut faire plus, mais à budget équivalent… La solution est donc de mieux fédérer les énergies, faire du cross selling, du cross media, organiser des partenariats win win, multiplier des alliances sur des opérations d’événementiel.
Les producteurs de contenus doivent aussi proposer des solutions concrètes pour les managers au bord du burning out, pour du fast thinking et du fast resolving… Mais cette voie innovante, ne sera proposée que par les opérateurs les plus audacieux sachant mailler des architectes d’intérieur, des neurologues, des innovateurs, des designers, des créatifs et des tricksters… (la recette reste toutefois secrète…)
Source : René Duringer / Février 2009 / Smartfutur