Depuis l’an 2000, l’entreprise agile, étendue, deuxpointzero, matricielle, sans frontières… c’est un peu l’arlésienne. On en parle beaucoup, mais peu de réalisations. Après sa brève apparition en l’an 2000, elle est réapparue en 2008 sous l’effet convergent des réseaux sociaux, de l’internet haut débit et de la porosité des systèmes, communautés et individus. Si pour cause de crise, beaucoup d’entreprises sont revenues à des systèmes pyramidaux, les plus stratèges adopteront l’entreprise 2.0. Pour faire plus avec moins, une seule solution : interconnecter intelligences, talents, énergies, informations. C’est magique. Les plus réfractaires à cet argument, risquent d’être les PME qui pratiquent la ligne Maginot. Certains groupes internationaux ayant une culture de la concurrence et de la diversité culturelle (open minded), ont bien sûr des atouts pour le modèle matriciel. Et of course les gens élevés au digital et au virtuel, pour eux être 2.0 c’est naturel car ils pratiquent l’interactivité sans barrière préétablie. On pourrait alors distinguer 3 catégories : Maginot, Christophe Colomb et Matrix. La bonne nouvelle, c’est que l’Entreprise 2.0 (ou peut importe son nom, du moment que sa pyramide est plate…), tombe à pic pour faire face à la crise. Pour ceux qui seraient un peu en retard, recrutez des Ludens (pour plus d’infos, téléchargez prochainement une enquête Microsoft sur http://www.microsoft.com/f