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En direction pour un nouveau paradigme de civilisation

126_ta.jpgInventer et pratiquer dès maintenant une nouvelle civilisation écohumaniste et connective

Nous allons sans conteste vers une nouvelle civilisation, avec des individus émancipés, autonomes, responsables de leur destin. Si nous vivons encore dans une civilisation marquée par des relations parents/enfants ou dominant/dominé ou proie/prédateur, nous nous orientons en ce moment vers un monde avec de l’intelligence connective, plus d’humanisme, plus de porosité entre les univers de chacun, plus de confiance. Certes, nous traversons une période un peu hard de transition, avec des comportements reptiliens d’arrière garde pour les barons des systèmes en place.
Peut être il faut plus de « net weave » et moins de « net work » ? Le pitch : « to weave=tisser », mieux que work=travailler qui a parfois une connotation purement opportuniste ! Tisser des liens comme prolongation de l'individualité et qui s'interconnectent. Il s’agit de souligner que le futur, n’est pas que du monétaire, mais aussi du sociétal et du social (dans le réseau social).
Préparons nous à une année Darwin 2009 (Sophie Januel) ! Donc il appartient à chacun de construire son propre éco système (ou biosphère) avec des gens positifs pour avancer dans ses projets. A chacun d’évaluer le niveau de toxicité des personnes avec qui, il souhaite converser.
Soyons smart, mais ne soyons pas naïfs, car la société comporte beaucoup d'escrocs, de charlatans, pseudos gourous, usurpateurs, faussaires ou détenteurs d’une aura à perpétuité résultant d’une grande école. On peut identifier ces gens, car ils prennent et ne donnent rien et ne savent pas ce que le mot partage signifie.
Soyons des phœnix capables de se réinventer, face à une civilisation qui se consume avant de renaitre encore plus flamboyant. Mais pas de grands changements sans grande destruction… Mais est-ce que l'équation est automatique? Surement oui, si l’on se réfère à l’Histoire, car les phases de transition impliquent une touche Reset, qui peut s’appeler, guerre, crise, purge, etc. Nous pouvons aussi devenir des métis, cette déesse du monde grec représentant la ruse, dont les qualités ont été cachées pendant des siècles, pour cause de rationalisme ambiant.
La limite de cette évolution c’est de ne pas se sentir propriétaire de cette (sa ?) biosphère et d’être en état fluide, open et évolutif, et de savoir identifier ses besoins et apports à l'autre. Chacun/e doit trouver l'éco système qui lui correspond...positif est un aspect, stimulant un autre, réflectif, créatif...etc, l'ouvrir et le partager..le principe d'un réseau? ;) mais virtuel+REEL. Il nous faut être maintenant systémique et holistique. C’est du New Age 2.0, mais avec du réseau social à la place du mystique !!!!
A ce titre, les digital natives, constituent une bonne bande annonce de ces nouveaux comportements. Ils ne fonctionnement pas selon les systèmes pyramidaux, savent partager et ont des systèmes d’infos poreux, car la confiance est une évidence…
Ce futur joyeux, après la grande transition, ne dépend que de nous. A nous de croire que l’on peut construire un monde où l’on peut vivre en respectant l’autre, son intégrité, ses idées. Un monde avec plus d’empathie et des relations gagnant-gagnant, plus de ponts que de murs (ou lignes Maginot…).

René Duringer / Stéphanie Baudart

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